Langue, palais et respiration

 

La respiration nasale est fondamentale pour la santé générale.
Une respiration nasale de bonne qualité dépend de la forme du palais qui est le plancher des fosses nasales. Si le palais est large et aplati les fosses nasales peuvent être larges, si palais creux elles sont plus étroites.

Si les fosses nasales sont plus étroites, la respiration devient plus fastidieuse, l’oxygénation moins bonne.  On prend l’habitude de respirer par la bouche, pour combler le manque d’air et les difficultés, et la posture de la tête et du cou sont impactées.

On s’incline en avant pour obtenir davantage d’air et libérer les voies respiratoires.

La respiration pendant le sommeil est aussi impactée et on peut faire de l’apnée.

De plus, si l’on respire par la bouche, l’air n’est plus filtré par le nez, et les amygdales et végétations forcées à faire le travail du nez et donc sur sollicitées et elles s’inflamment plus facilement.

La forme du palais dépend de la mobilité de la langue, qui est censée venir l’aplatir et l’élargir, lors des tétées, de mouvements de déglutition, au repos.  Un frein de langue restrictif empêche la langue d’élargir et aplatir le palais.

Les tétines et pouces interagissent également avec le travail de la langue et peuvent participer à sa forme ogivale. Ils ont donc l’effet inverse de celui souhaité.

 

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