Composition du lait maternel

Hamlet : “human alpha-lactalbumin made lethal to tumour cells” (HAMLET) «l’alpha-lactalbumine humaine rendue létale pour les cellules tumorales» (HAMLET), un complexe protéine-lipide tumoricide formé à la suite de la protéine la plus courante dans le lait maternel, l’alpha-lactalbumine, subissant un changement de conformation et se liant à l’acide oléique.  Source : https://www.pharmaceutical-technology.com/comment/breast-milk-and-oncology-2019/

Cellules souches : Les cellules souches sont les cellules « mères » à partir desquelles toutes les autres cellules sanguines (globules rouges, globules blancs et plaquettes) se développent. La moelle osseuse constitue l’usine qui produit les cellules souches. Source : https://www.hema-quebec.qc.ca/cellules-souches/savoir-plus/cellules-souches.fr.html;jsessionid=748201233AC7142B7C0DA6A9FF2CA692

Facteurs antiparasitaires, antiviraux et antibactériens – anticorps: IgA, IgM, IgD, IgG, bifidobactéries, lactoferrine, oligosaccharides, caséine, cellules vivantes (macrophages, lymphocytes T et qui protègent contre les infections bactériennes, virales et parasitaire
Source : https://devsante.org/articles/allaitement-maternel-caracteristiques-et-avantages

Oligosaccharides (HMO) : Les oligosaccharides du lait humain (HMO) comprennent un groupe de glycanes structurellement complexes et non conjugués qui sont très abondants dans le lait maternel. Les HMO sont peu digérés dans le tractus gastro-intestinal et atteignent intacts le côlon, où ils façonnent le microbiote. Une petite fraction des HMO est absorbée, atteint la circulation systémique et est excrétée dans l’urine. Les HMO peuvent se lier aux récepteurs de surface cellulaire exprimés sur les cellules épithéliales et les cellules du système immunitaire et ainsi moduler l’immunité néonatale dans l’intestin du nourrisson, et éventuellement également dans tout le corps. De plus, il a été démontré qu’ils agissent comme des récepteurs leurres solubles pour bloquer la fixation de divers agents pathogènes microbiens aux cellules. Cette revue résume les connaissances actuelles sur les effets que les HMO peuvent avoir sur les infections, les allergies, les maladies auto-immunes et l’inflammation, et se concentrera sur le rôle des HMO dans la modification des réponses immunitaires en se liant aux récepteurs liés au système immunitaire.
https://www.frontiersin.org/articles/10.3389/fped.2018.00190/full

Nucleotides : les nucléotides ont un rôle important dans la régulation du sommeil de l’enfant. Ils agissent sur le système nerveux central en le stimulant ou en l’apaisant, conduisant ainsi au calme et au sommeil.
Source : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0271531721000737

Probiotiques : qui ne sont plus à présenter
Prébiotiques sous la forme d’oligosaccharides HMO qui nourrissent les bonnes bactéries entre autre.

Antiproteases : agit en inhibant la protéase du virus (enzyme qui participe à la reconstruction des protéines virales à l’intérieur de la cellule). Lorsque celle-ci est bloquée, les nouveaux virus produits sont défectueux et ne peuvent plus infecter de nouvelles cellules.

Hormones : thyroxine, insuline, corrisom, prostaglandine qui protègent possiblement contre l’hypothyroïdie congénitale, régulent la glycémie, régularisent le métabolisme et favorise la maturation du système immunitaire.

Enzymes :  Amylases, Lipases, Lysozymes qui facilitent la digestion des aliments

Facteurs de croissance : ils aident à la maturation de la paroi intestinale – Cytokines
Interleukine-1β (IL-1β) IL-2, IL-4, IL-6, IL-8, IL-10, Facteur de stimulation des colonies de granulocytes (G-CSF), Facteur de stimulation des colonies de macrophages (M-CSF), Facteurs de croissance dérivés des plaquettes, (PDGF) Facteur de croissance de l’endothélium vasculaire (VEGF), Facteur de croissance -α des hépatocytes (HGF-α) HGF-β, Facteur de nécrose tumorale -α, Interferon-γ, Facteur de croissance épithéliale (EGF), Facteur de croissance transformant -α (TGF-α), TGF β1, TGF-β2, Facteur de croissance analogue à l’insuline (IGF-I) (ou somatomédine), Facteur de croissance analogue à l’insuline type II, Facteur de croissance du tissu nerveux (NGF), Erythropoïétine, Peptides (combinaisons d’acides aminés), HMGF I (facteur de croissance humain), HMGF II, HMGF III, Cholécystokinine (CCK), β-endorphines, Hormone parathyroïdienne (PTH), Peptide apparenté à l’hormone parathyroïdienne (PTHrP), β-défensine-1, Calcitonine, Gastrine, Motiline, Bombésine(peptide facteur de libération gastrique ou neuromédine bêta), Neurotensine, Somatostatine
Source : https://www.gifa.org/wp-content/uploads/2021/11/Whats_in_Milk_Tableau_comparatif_francais_2021.pdf

Mi-ARN : Les mi-ARN jouent un rôle très important dans des fonctions de base de notre organisme, ils interviennent notamment comme régulateur de la croissance, dans la différenciation cellulaire et dans le fonctionnement du métabolisme. Le lait maternel contient des mi-ARN en grande quantité

This entry was posted in Non classé. Bookmark the permalink.